Les bibliothèques, il en est de toutes les tailles, des étages qui s’empilent, des rayons qui se succèdent, sous un plafond qui se dérobe ; et puis les plus modestes, au coin de la rue, où vous ne serez jamais à l’abri d’une trouvaille ; celle du salon, constituée d’une multitude de trésors ; et là encore…
J’ai eu la chance de traduire durant l’automne le premier tome « This could be love » de la saga hawaïenne de Lilly Lucas. Ravie de cette expérience nouvelle dans le monde de l’édition, j’ai hâte de l’avoir entre les mains. Les livres sont des objets fascinants. Que la magie opère !
Meilleure lecture jusqu’à présent cette année !
Auteure découverte grâce à une chaîne Facebook faisant dans l’injonction « Poste chaque jour (...) », comme quoi il y a eu du bon sur les réseaux sociaux 😉